Voisin du Casino et de l’église russe, le restaurant Glam surplombe la Méditerranée, adossé à la superbe villa Belle Epoque Noseda.
Tout contre la grande salle moderne, la villa Noseda, de style néogothique, comme certaines « folies » Belle Epoque, conçue par l’architecte Pio Soli, en 1885 pour le baron allemand Adolph Thiem, abrite une grande salle à manger, dite « Glam exclusive », aux fenêtres panoramiques donnant sur l’Avenue de l’Impératrice et la mer.
Depuis trois ans, le chef Matteo Rizzitelli, natif de San Remo, formé à l’Istituto Alberghiero (homologue italien de l’Ecole hôtelière), allie les produits ligures de saison et le savoir-faire acquis lors de son parcours en France et à Londres. Il est entouré d’une équipe jeune et enthousiaste, dont son second Jacopo Rosti. Il aime à cuisiner le poisson cru fraîchement péché, gambas de San Remo, loup, tartare de poissons, huîtres et fruits de saison… Il ose les contrastes, tels les Saint-Jacques braisées au foie gras sur purée de céleri-rave, croustillantes aux figues et encre de seiche avec de la poudre d’or. Sur la carte comme dans l’assiette, cela fait rêver. Il réussit aussi bien les roulades de lapin farcies au fromage de chèvre.
Cette cuisine inventive et raffinée est proposée à un prix plus raisonnable que du côté français de la frontière sur la French Riviera.
Le sommelier propose une belle carte de deux cents vins italiens et français et de champagnes.
C’est le restaurant à la mode du monde des arts et des affaires sur la Riviera dei Fiori, notamment pendant le festival de San Remo.
Chère Amélie,
Je continue mon voyage en Italie, aujourd’hui je m’offre une escapade à San-Remo pour vous suivre au Glam et chez Flipper le dauphin, une belle étape gastronomique.
Quel plaisir de vous retrouver sur la terrasse du Glam, un superbe portrait dans une tenue toute en noir, chaussée de vos escarpins à talons qui mettent en valeur vos longues jambes.
Un autre portrait en bord de mer nous dévoile encore plus vos jambes chaussées par de superbes mules à talons hauts, on distingue vos ongles vernis en rouge.
Même à San-Remo, il y a un petit vent coquin qui viens chatouiller votre jupe après votre repas chez Flipper. Décidément, les vents vous apprécient et vous suivent.
Quand à vos escarpins noirs à talons, ne seraient-ils pas vos préférés ? Ils sont souvent présent sur vos photos.
Hâte de vous retrouver au prochain rendez-vous, dans une dizaine de jours, car je remarque que vous avez mis en ligne une nouvelle destination sur un lac italien.
PS : une belle pensée pour vous Amélie le week-end dernier pendant ma balade à Marseille, surtout sur la passerelle entre le Mucem et le fort St Jean où le vent coquin s’amusait avec votre jupette blanche.
Pascal
Cher Pascal,
la robe noire, que vous appréciez sur la terrasse du Glam, est une Nana Baila, caractéristique, courte, avec les fermetures à glissière apparentes, les poches à empiècements molletonnées… J’ai beaucoup porté les créations de cette maison de couture hélas disparue, on les retrouve dans plusieurs articles, notamment au Parcours qui était un lieu très graphique.
Il faudra que je consacre un article à part entière à San Remo, charmante station, où j’ai beaucoup de photographies.
Vous avez raison, les vents aiment s’amuser avec mes jupes.
En ce qui concerne les escarpins, là aussi, si je jouais les influenceuses je me ferais rémunérer par la marque pour la citer. En fait, je porte en permanence des talons, qu’il s’agisse d’escarpins, de bottines, de bottes ou de cuissardes, de mules, de sandales ou même de baskets. Je sélectionne donc soigneusement des chausseurs qui ménagent ma voûte plantaire, tels que Dorking (marque espagnole contrairement à son nom), Marco Tozzi (marque allemande, idem), Laura Vita, voire Geox… et, chez ces chausseurs, des modèles précis dans lesquels je me sens à l’aise, quitte à les renouveler d’une saison sur l’autre, ce qui donne l’impression que je porte les mêmes. J’espère que cela ne vous lasse pas. Je veille à tenir compte de vos goûts, puisque vous avez la gentillesse de les exprimer, en privilégiant désormais les photographies de chaussures ouvertes lorsque j’ai le choix entre plusieurs clichés.
J’ai enrichi l’article sur le Vieux Port d’une galerie d’images devant la passerelle, où le mistral est un peu coquin.
Vous pouvez suivre en direct l’élaboration de l’article sur le Grand Hôtel des Iles Borromées. J’y ai tellement de photographies et de notes que c’est un très long travail.
Au plaisir, qui ne se dément pas, de vous lire.
Amélie
Chère Amélie,
C’est vraiment dommage que cette maison de couture ait disparu, leurs créations vous vont à merveille.
Je serai ravi de découvrir d’autres photographies de San Remo.
Ah les talons ! Vous les portez très bien, Amélie. De plus, ils allongent et galbent vos jambes.
Croyez-moi Amélie, je ne me lasse pas du tout de voir les mêmes modèles de chaussures à vos pieds, surtout comme vous l’avez remarqué, lorsqu’ elles sont ouvertes, car on peut admirer vos jolis ongles d’orteils vernis, et je vous remercie beaucoup de tenir compte de mes goûts.
Merci pour avoir enrichi l’article sur Marseille, de nouvelles superbes photos.
J’aurais plaisir de continuer à vous suivre avec l’article sur le Grand Hôtel des Iles Borromées. Oh oui, je comprends que cela représente un énorme travail, mais sachez, Amélie, que nous, les lecteurs et admirateurs de votre site, n’hésiterons pas à vous laisser de très bons commentaires pour continuer à vous soutenir dans votre travail.
A bientôt
Pascal
Cher Pascal,
l’attention que vous me portez, votre bienveillance et vos compliments sont en effet de précieux encouragements. Sachez que j’attends chaque fois le plaisir de vous retrouver et c’est bien la moindre des attentions que, chaque fois que je le peux, je tienne compte de vos goûts.
Amélie