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Suivons Amélie à Stresa, dans le plus beau palace du Lac Majeur, le Grand Hôtel des Iles Borromées, un monument historique de style humbertien où passèrent toutes les têtes couronnées d’Europe et même le Maharadja du Bengale. Chaque étage est une galerie d’art, cadre pour des portraits de notre sexy french lady. Un fois encore, Amélie retrouve la trace d’Ernest Hemingway. C’est ici que le journaliste aventurier, prix Nobel de littérature, a écrit « L’adieu aux armes », en contemplant Isola Bella.
Amélie connaît bien le restaurant Il Borroméo où elle vient plutôt par commodité, les soirs de ses arrivées et chaque matin au petit déjeuner qu’elle y apprécie particulièrement. Au bar évidemment nommé Hemingway Bar, elle écoute le jeu d’un pianiste. Elle profite aussi du nouveau spa, très réussi, et essaie ses nouveaux maillots à la piscine.
L’un des tous premiers grands monuments humbertiens
Amélie nous amène cette fois dans un palace de style humbertien, bâti en 1863. Nous sommes tout juste deux ans après la création du Royaume d’Italie qui ne sera achevée qu’en 1870. Sous l’influence du Second Empire français, le style éclectique est en vogue dans toute l’Europe. Les historiens de l’architecture vont, a posteriori, baptiser « architecture humbertienne » sa version italienne, qui débute en fait dès 1860 dans le nouveau royaume (alors que Humbert 1er, Umberto I, a régné de 1878 à 1900).
L’Art Nouveau n’est apparu qu’en 1880, puis sa version italienne, le style Liberty, qu’en 1895, soit trente ans après la conception et la construction du Grand Hôtel des Iles Borromées. Rien dans ce monument n’est Art Nouveau et ne pouvait historiquement l’être, pas même la magnifique marquise vitrée du porche, toute de guirlandes festonnées symétriques et de rosaces, sans le moindre nymphéa ni silhouette féminine. Non, le Grand Hôtel des Iles Borromées n’est absolument pas de l’Art Nouveau, contrairement à ce que l’on peut lire même sur son site ! C’est un des premiers grands monuments « Humbertiens ».
Par un clin d’œil de l’histoire, le Grand Hôtel des Iles Borromées, dont le nom s’écrit toujours en français, est situé sur le Corso Umberto I.
La construction du premier palace du Lac Majeur
Carlo Omarini et ses frères, une dynastie d’hôteliers, à Isola Bella où ils possèdent l’Albergo del Delfino, et à l’étranger, achètent le terrain en 1860. Ils confient la construction à l’architecte Antonio Polli. Celui-ci conçoit un bâtiment à la mode de l’époque, Second Empire français ou Ecole des Beaux-Arts, dans ce style que l’on n’appelle pas encore dans la nouvelle Italie « Humbertien », symétrique autour d’une entrée prestigieuse, avec des modénatures de façade éclectiques, néo-classiques et néo-baroques, surmonté par des tours aux toitures de tuiles noires. La tour centrale, au-dessus d’une horloge encadrée de sculptures néo-baroques, s’élève en clocheton à bulbe d’hémisphère.
Le chantier dure un peu moins de trois ans. L’inauguration a lieu le 21 mars 1863. Il s’agit de l’établissement le plus prestigieux du Lac Majeur. Il fait de Stresa, jusqu’alors ignorée des bateaux qui se rendaient sur Isola Bella, une station de villégiature incontournable.
Dès 1868 une extension devient indispensable pour faire face au succès. Un pavillon est construit puis relié à l’aile gauche du bâtiment dans un second temps, qui lui donne son visage actuel, ayant gagné en majesté mais perdu sa parfaite symétrique axiale. Le palace compte aujourd’hui 131 chambres doubles, 25 junior suites, 5 chambres simples et 11 suites parmi lesquelles la célèbre Suite Hemingway. Toutes sont différentes.
La grandiose fontaine, au milieu du parc, a été remise en chantier de 1998 à 2000. La piscine et le spa ont été intégralement repensés en 2020 pour offrir une réalisation esthétique, vaste et lumineuse.
L’embarcadère privé sur le lac et son parc, bien que séparés du palace par la route du bord du lac, restent fidèles à la configuration d’origine de jardin à l’italienne.
De Stresa au… Lac Majeur
En 1907, Giuseppe et Luigi Omarini entreprirent de vendre leurs actions à la “Società Anonima Unione dei Grandi Alberghi”. Celle-ci est absorbée en 1923 par la Compania italiana Grandi Alberghi (CIGA), société par actions fondée en 1906 autour de la Banco Commerciale Italiana, le plus grand opérateur italien dans l’hôtellerie de luxe, propriétaire notamment du Lido et du Danieli de Venise et d’autres palaces à Rome, Naples… La CIGA apporte sa contribution à la renommée mondiale du Grand Hôtel des Iles Borromées hors d’Europe.
En 1989, le Palace revient entre des mains lacustres. Il est acquis par la SIALM (Societa italiana per gli alberghi del Lago Maggiore) fondée par la famille Padulazzi, qui possède entre-autres, la plupart des grands hôtels de Stresa. Après les Omarini, en fermant la parenthèse vénitienne de la CIGA les Padulazzi sont la seconde dynastie des palaces du Lac Majeur. Le « dottore » Marco Padulazzi en est l’administrateur délégué et le président du Grand Hôtel des Iles Borromées . La direction est confiée à Gianluigi Mariani.
Le docteur Marco Padulazzi, personnage d’importance, qui préside aussi les jardins botaniques de la Villa Tarento et administrateur de diverses fondations, accueille Amélie avec une exceptionnelle gentillesse. Il lui raconte, dans un français parfait, l’histoire du palace.
Un ameublement fidèle au style Second Empire
L’ameublement et la décoration intérieure du palace sont restés fidèles au style d’origine, celui qui était en vogue dans toute l’Europe et dans les deux Amériques au moment de sa construction, en 1860 : né en France, le style Second Empire, Napoléon III. On peut parler de style éclectique ou historiciste, reprenant plusieurs périodes précédentes, principalement Louis XVI et 1er Empire.
Bois moulurés, façon pilastres, dorures à l’or fin, vernis incrustés de nacre ou d’écaille, pans de marqueterie, contrastent sur fond de riches tentures rouges et or. Les piètements sont droits, recourbés juste au contact du sol, rappelant les motifs d’épais tapis et les tentures lestées de glands à fils d’or. Les lustres proviennent, bien sûr des verreries de Murano.
Les paliers et couloirs comme autant de galeries de musées
Chaque étage du palace, depuis le palier d’ascenseur jusqu’au fond de son couloir, est une galerie de musée dédiée à une époque de l’histoire d’Italie, au moyen de reproductions de statues, bas-reliefs, mosaïques, coffres, vases, vaisselle, pendules, tableaux…
Le premier étage est la galerie de la Renaissance florentine, le deuxième celui des chinoiseries vénitiennes, le troisième est dédié baroque romain, le quatrième aux capitaines des ordres chevaleresques, le cinquième à l’art des vases de la Grande Grèce (les colonies grecques en Italie), et le sixième aux vestiges pompéiens.
L’Orient Express fait défiler l’histoire et ses acteurs
Avec l’arrivée de l’Orient Express, via le tunnel de Simplon dont le percement a été décidé par un décret du 7 septembre 1800 de Napoléon Bonaparte, Stresa devient, dans les années vingt, une étape incontournable sur la mythique ligne Londres – Paris – Milan – Venise – Constantinople. Au début, il s’agit surtout de l’aristocratie britannique mais vient ensuite celle de l’Europe entière.
Y défilèrent la Grande duchesse Maria Nicolaïevna, sœur du Tsar, puis la grande duchesse Alexandra qui avec un diamant grava son nom sur une vitre. Le prince d’Oldenburg, le prince et la princesse de Bade, le prince et la princesse de Galles, la reine des Pays-Bas, le baron et la baronne Rotschild, Richard Wagner avec Cosima et leurs enfants, le chef d’orchestre Arturo Toscanini, Giuseppe Garibaldi, Charles-Lucien Bonaparte prince de Canino, Léopold II de Belgique, le grand-duc Charles du Luxembourg, Oscar II de Suède, le Maharaja Burdwan du Bengale, la princesse Margaret d’Angleterre, les banquiers américains Vanderbiltd, Andrew Carnegie, Morgan, Rockefeller, Gabriele D’Annunzio et Eleonora Duse, Clark Gable, George-Bernard Shaw, Charlie Chaplin, les prix Nobel de littérature Ernest Hemingway, qui y a écrit l’Adieu aux armes, et John Steinbeck, qui a dessiné dans le livre d’or un étrange Pégase, les familles régnantes d’Arabie saoudite et les monarchies du Golfe…
Le palace a aussi accueilli les participants des conférences de Stresa, de 1932 (pour tenter de gérer l’endettement des nations européennes, en particulier de l’Allemagne dite République de Weimar), de 1935 (pour tenter d’isoler l’Allemagne nazie) de 1958 (pour créer la politique agricole européenne commune).
Amélie met chacun de ses pas dans ceux de l’Histoire.
Admirer les Iles Borromées depuis sa suite
Dès qu’elle arrive dans sa suite, Amélie contemple la vue spectaculaire sur le Lac Majeur, masse majestueuse au milieu des sommets alpins. Paysage romantique, même par temps gris : « Il neige sur le Lac Majeur » chantait Mort Shuman. Eaux calmes fendues seulement par le sillage des bateaux, parfois les fameuses vedettes hors-bord d’acajou, les Riva, qui appontent aux embarcadères privés des palaces.
Au XVIIe siècle, les comtes Borromeo, famille milanaise proche des ducs Visconti puis des Sforza, entreprennent de transformer plusieurs iles rocheuses sur le Lac Majeur, l’Isola Madre puis Isola Bella, par la création d’espaliers, des apports de terre et de végétation. Sur Isola Bella, le comte Vitelio VI Borromeo édifie un palais et un jardin suspendu qui donnent à l’île sa silhouette singulière, de jour comme de nuit.
Les nouvelles piscines et le SPA des Iles
L’inauguration du nouvel ensemble de piscines et du spa des Iles été un évènement annoncé jusque dans la presse milanaise. Sous l’impulsion du Dottore Marco Padulazzi, l’établissement a su se renouveler pour tenir son rang de palace international. Deux piscines extérieures, dont une à jacuzzi et jets, un spa avec piscine à la fois intérieure et extérieure, plus un bassin bouillonnant, sans oublier l’ensemble des douches à affusion, sauna, hammam, grotte à sel… Amélie en raffole.
La métamorphose est spectaculaire, le bassin du nouveau spa est grandiose, avec d’innombrables lits bouillonnants, jets de massage, douches massantes. Amélie peut nager en intérieur ou, par simple action sur un rayon lumineux, déclancher l’ouverture des portes transparentes vers la partie extérieure du bassin et les jaccuzzi.
L’hôtel le plus fleuri d’Italie
Le parc du Grand Hôtel des Iles Borromées est un jardin extraordinaire : azalées, oliviers, citronniers et de nombreuses espèces rares et centenaires qui font le bonheur des botanistes. En son cœur, une placette ovale ornée de statues des continents et une fontaine qui sonne les heures en musique. C’est une des fiertés du Docteur Marco Padulazzi. Le palace a obtenu le titre de « L’Hôtel le plus fleuri d’Italie ».
Vedette privée pour déjeuner sur les Iles.
Le palace possède bien sûr son embarcadère privé où abordent les mythiques vedettes Riva que le concierge Clef d’Or vous commande pour aller déjeuner sur les îles.
Amélie apprécie de flâner à la terrasse de l’un des restaurants, gastronomique, sur l’Ile des Pescatori.
Le palace, sous l’impulsion du Docteur Marco Padulazzi, s’est doté d’une mise en lumière nocturne particulièrement réussie. De quoi donner à Amélie des envies de se promener, par la nuit chaude, dans le parc et à l’embarcadère.
Bientôt, d’autres portraits d’Amélie au Grand Hotel et sur le Lac Majeur… Les fidèles d’Amélie pourront y acccéder par la porte dérobée.
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Bonjour,
Merci pour ce voyage !
La recherche documentaire de cet article m’a permis de découvrir l’histoire et l’architecture d’un lieu que je ne connaissais pas et les photographies mettent en valeur l’écrin majestueux d’une perle… Amélie.
Bonjour Jean-Luc,
merci pour vos compliments.
Comme l’indique le préambule, le choix a été fait de plublier cet article pendant sa construction, pour permettre aux visiteurs fidèles d’observer la progression, les hésitations et l’ensemble du travail. La magnifiscence du site et plusieurs reportages rendent l’exercice possible.
Au plaisir de vous retrouver pour la suite.
Amélie.
Bonsoir,
J’apprécie que vous partagiez avec nous les differentes phases de la création artistique, faites de ratures, de corrections, de réécritures, de rajouts dans la marge jusqu’à ce qu’un chef d’oeuvre voit le jour et éclaire le quotidien morne de plusieurs.
Je vois qu’il n’y a pas que le texte qui fut étoffé. La galerie photographique le fut également. Je suis content de pouvoir admirer la beauté d’Amélie devant le bar et au pied de cette statue… Amelie, vous êtes une muse !
Au plaisir de savourer la suite de votre travail.
Merci Jean-Luc pour votre fidélité, ainsi que pour votre confirmation de l’intérêt pour les visiteurs fidèles, de pouvoir suivre la construction d’un très lourd article comme celui-ci, avec ses hésitations, rééquilibrage des galeries au fur et à mesure que l’ensemble avance et prend du poids. Encore merci pour vos encouragements et votre compliment.
Amélie.
Bonjour chère Amélie,
Il y a 5 ans, une innocente recherche sur Google à propos de « Cuneo » m’a amené à ce site web, qui est un trésor caché, un lieu enchanté où les souhaits deviennent réalité, grâce à la beauté stupéfiante, inégalée et envoûtante d’Amélie.
Pendant des années, j’ai savouré tranquillement et avec enchantement chaque article et je suis arrivé à la conclusion que vu l’allure et la classe avec lesquelles Amélie se fond dans l’architecture, l’art et les joies de la vie, elle doit être la femme la plus complète, la plus merveilleuse et la plus universelle de cette planète.
Il fallait vraiment que je le dise car la beauté, les yeux de muse d’Amélie et son sourire d’un charme irrésistible m’ont profondément touché, tout comme ses vêtements élégants et de classe, ainsi que son côté sexy d’une fémininité intemporelle.
Signé par un grand fan et admirateur
Cher Nathaniel,
c’est un plaisir de découvrir que depuis des années vous me suiviez dans tous ces lieux. C’en est un plus grand encore de vous lire enfin. J’espère que cette première fois n’est pas la dernière. Merci pour vos appréciations qui, telles un doux beaume, me touchent, m’émeuvent et m’encouragent à poursuivre mes périgrinations avec vous.
Avez-vous apprécié que l’article sur le Grand Hôtel des Iles Borromées soit resté en public pendant toute sa construction, pour permettre aux visiteurs de suivre celle-ci ?
Si ce carnet sur le Grand Hôtel des Iles Borromées vous a plu, sachez que j’y ai tellement de portraits, dont ceux de la série en robe du soir longue, en partie transparente, que j’envisage un second article, permettant de publier ceux-ci, à la façon dont cela a été fait pour Sanibel Island – Florida Lost paradise ? (au lendemain du cyclone Ian) avec un second article intitulé « Portraits d’Amélie au paradis perdu ».
Amélie
Merci Amélie,
J’en serais bien sûr très heureux. En effet, cet article s’est avéré être l’un de mes préférés, parce qu’il vous montre dans tous vos beaux styles différents : Du spectaculaire maillot de bain à la robe de soirée noire et transparente, qui a fait bondir mon cœur, en passant bien sûr par le magnifique chemisier transparent qui nous a donné un aperçu de la beauté de votre création.
J’ai hâte de lire le nouvel article. Merci d’enchanter nos vies avec votre beauté de muse.
Cher Nathaniel,
je vous ravie que vous ayez écrit un nouveau commentaire. Merci pour l’attention soutenue que vous accordez à mes tenues et plus soutenue encore à la façon dont je les porte. Puisque vous avez la gentillesse de m’en faire part, j’aurai plaisir à en tenir compte dans l’article plus spécialement dédié à mes portraits. Vous y retrouverez au moins une série sur la longue robe de soirée noire et transparente, des poses et éclairages différents sur le chemisier transparent rose, notamment sur l’embarcadère de nuit, sur le maillot de bain dont les ganses, lorsqu’elles sont nouées derrière le cou en passant sous les seins, subliment la poitrine et semblent conçues pour la mienne.
Ce site n’aurait pas de sens sans ce partage. Merci de votre fidélité.
Amélie
Chère Amélie,
J’ai beaucoup apprécié de lire la dernière mouture de ce carnet de voyage. Voyage à double titre.
Ce Grand Hôtel est tout simplement grandiose par son charme, son élégance et son style éclectique ou historiciste pour reprendre le terme du rédacteur. Que dire de son fabuleux parc qui nous invite à voyager également par les senteurs qu’exhalent toutes ces plantes odorantes ? Au fil du récit et des photographies, j’ai voyagé et me suis évadé quelques instants. Même cet embarcadère m’a appelé à rêver, mais ça, vous le saviez déjà…
Je remercie votre Pygmalion d’avoir mis en ligne les différents brouillons, ou plutôt les différentes versions de son carnet jusqu’à cette dernière. D’une version plus extérieure (désolé, le mot exact ne veut pas sortir) à une version plus intimiste. Et d’une version plus centrée sur l’intérieur du Grand Hôtel à une version ouverte sur l’extérieur. Tout ce voyage entre une représentation publique et l’intime se résume par les deux photographies de l’enseigne. L’une de jour. L’autre de nuit, comme un appel au rêve…
Cher Jean-Luc,
mon Pygmalion se réjouit que vous ayez apprécié la mise en ligne des brouillons pour de pouvoir suivre les versions successives.
Vous avez parfaitement perçu la logique de construction de ce carnet, d’une vision de jour, extérieure depuis il Lungo lagho du corso Umberto 1er, jusqu’à l’intime, pour finir par les mêmes lieux, dans l’imaginaire onirique nocturne… puis cette magnifique enseigne.
Amélie
Ma Chère Amélie,
Aujourd’hui, vous m’emmenez dans un palace à architecture humbertienne . Je ne connaissais pas du tout et c’est une belle découverte pour moi et pour d’autres certainement.
Un seul mot à vous dire pour ce superbe article sur ce palace du lac Majeur: WHOUAAAA
Mais quel travail de titan avez-vous accomplie pour nous présenter le Grand Hôtel des Iles Borromées.
Merci, merci et encore merci pour nous vos lecteurs et admirateurs. On ne peut qu’être en admiration devant tout le travail de recherche que vous avez fourni pour rédiger cet article, ainsi que le tri des nombreuses photos.
Votre description du palace est bien complète et vous êtes une excellente historienne pour ce palais et une admirable guide pour nous le faire découvrir. Ce palace est aussi un beau musée où chaque couloir est une véritable galerie d’art.
De plus avec la belle présence féminine de notre sexy french lady, vous ma chère Amélie, c’est un rayon de soleil que vous y déposez à chacun de vos passages.
Que dire encore des extérieurs, de la piscine et du spa, où la aussi votre présence féminine y apporte une touche de romantisme, n’est ce pas !
Vous avez l’art et la manière de nous décrire son très beau passé historique avec la venue de toute l’aristocratie. Peut être que dans quelques années, d’autres décriront votre venue comme étant la Star de l’année 2023, un joli clin d’œil pour votre charme et votre féminité.
Malheureusement je n’ai pas pu suivre la construction de cet article comme on pu faire d’autres admirateurs, vous en connaissez la raison et je pense que vous m’excuserez pour cela. C’est pour moi une très belle découverte de le regarder une fois terminé pour faire ce beau voyage en votre compagnie.
Quand à vous Amélie,
Quel plaisir aussi de vous admirer dans de superbes robes, surtout les deux noires, dont une qui nous offre un magnifique décolleté à table et l’autre presque transparente, qui nous laisse entrevoir vos longues jambes, avec en prime des superbes sandales noires à talons hauts, dans lesquelles on devine vos orteils vernis en rouge.
Très belles poses au bar avec vos jambes croisées, une belle harmonie de votre chemisier avec vos sandales ainsi que de votre petite jupe fendue et vos orteils vernis.
Merci de nous avoir fait entrer dans votre suite pour d’autres poses très sensuelles et encore plus osée dans votre bain.
Quant à vos nouveaux maillots de bain, vous avez eu surement l’occasion d’en essayer plusieurs avec peut être une préférence sur une couleur. La piscine et le spa donnaient envie de faire trempette.
Merveilleux parc verdoyant avec de belles plantes, fleurs et statues, vos robes colorées et fleuries se fondent dans le paysage et vous faite partie de ce beau tableau.
Amélie by night, merci au photographe pour ces belles photos, j’adore celle où vous êtes entre les deux lampadaires.
Au plaisir de vous retrouver
Pascal
Mon cher Pascal,
je ne vous en veux pas de n’avoir pu suivre la construction de l’article étape par étape, j’en connais en effet la raison. Merci pour votre analyse de ce carnet de voyage et vos appréciations sur le travail de recherche historique. Vous avez donc fait halte avec l’Orient Express et nous avons parcouru ensemble les salons emmplis de têtes couronnées et de stars.
Merci pour votre fameux regard caressant et la finesse des observations dont vous m’enveloppez. Dans la série de poses dans la salle de bain, j’ai spécialement choisi de publier, en pensant à vous, celle où l’on voit ma jambe et mon pied cambré, jusqu’à la pointe des orteils. Vous en êtes vous douté ? Je suis heureuse que vous vous soyez introduit dans ma salle de bain à ce moment-là.
Merci d’avoir finement remarqué que lors de ce séjour je porte, en mauve et bleu lavande, le même ensemble de bain deux pièces doté, en plus des bretelles, de très longues ganses que l’on peut nouer de différentes façons. Le mauve ressort mieux au soleil, le bleu est plus doux notamment sous la robe de piscine. Mais je me suis surtout amusée à jouer avec les très longues ganses que l’on peut passer sous la poitrine ou croiser entre les seins (selon que l’on veut les écarter, les raprocher, les faire pointer…), nouer derrière le cou (ce qui, si on les a d’abord passées sous les seins, produit un effet de corbeille, comme dans le portrait en mauve, avec le chapeau beige, où je suis accoudée à la balustrade, ceux sous la douche du jacuzzi), croiser dans le dos en les laissant pendre jusqu’aux fesses(portrait de dos, en bleu, avec robe de piscine)…
Je vous donne donc un rendez-vous nocturne, pour des poses avec des jeux de nuances de lumières de flash, sur l’embarcadère, précisément entre les deux lampadaires, qui produisent un effet de transparences et de reliefs.
Amélie
Ma chère Amélie,
J’avais un peu deviné que cette pose dans votre baignoire m’était destinée. Vous commencez à connaitre mes gouts au fur et à mesure de nos échanges.
J’avais longuement hésité à ouvrir cette porte mais quelle belle surprise m’attendait.
Longue jambe, pied cambré et orteils vernis… Un remarquable trio qui fait de cette jambe, que j’ai admirée dans tant d’autres portraits de vous, de plus émergeant ici du bain moussant, une exquise finesse de la beauté. Le talon repose sur l’autre jambe dont émerge le genou qui rend cette pose et cette photo, par la même occasion, d’une extrême sensualité dont vous connaissez le secret.
J’ai bien remarqué que vous jouez parfaitement avec les longues ganses de vos maillots de bain pour accentuer certaines formes, ce qui attiree les regards, masculins comme féminins, car vous devez faire des envieuses chez certaines femmes ou susciter leur admiration.
Il me semble que d’autres portraits sont à venir prochainement pour compléter cet admirable excursion, je reste avec vous au bord du lac afin de les admirer dès leurs sorties.
Admirativement
Pascal
Ma chère Amélie.
L ‘Orient express ne passant pas dans notre belle région, j’ai donc quitté la Provence en voiture pour venir vous rejoindre à Stresa, au bord du lac majeur, et plus précisément au grand hôtel des îles Borromées.
Dès mon 1er regard, à peine franchi le portail du parc, je fut attiré par la beauté de se chef d œuvre hors norme.
Quelle belle surprise d être attendu par la star des lieux, vous ma chère Amélie, sur le parvis en mosaïque de l entrée de cet hôtel, avec en prime une petite jupe en jean ainsi que des sandales à talons , qui me fit découvrir dès notre rencontre vos superbes longues jambes.
Je pense que vous l avez fait exprès pour attirer mon regard.
La route à était longue, et vous me demandez de vous retrouver au bar Hemingway après avoir récupéré ma chambre et m être changé.
Après votre accueil chaleureux, je découvre ma chambre sans trop regarder l intérieur de l hôtel car vous me réservez cette surprise pour le lendemain.
Au vu de mon couloir, la visite promet une belle découverte en votre charmante compagnie.
Je vous retrouve quelques instants plus tard au bar dans une autre tenue tout aussi remarquable que celle de mon accueil sur le perron. Quelques notes de piano pour mon entrée et je vous rejoins.
Vous êtes assise sur un tabouret de bar avec vos longues jambes croisées, la petite jupe et les sandales ont changés de couleur pour l apéritif , mais votre charme et votre joli sourire n a pas changé.
Une fois le repas terminé, c’est une petite sortie by night autour de l hôtel que vous me proposez pour admirer ce palace sous les projecteurs. Le spectacle est grandiose et pour couronner le tout, c’est de belles poses photos sous la lumière et les flashs que vous me proposez, décidément Amélie vous savez nous surprendre.
Après une bonne nuit et un copieux petit déjeuner, c’est sur la terrasse que commence notre visite, une fois franchi la porte, vous commencez à me décrire chaque choses qui raconte une histoire, et de nombreuses œuvres jalonnent notre parcours.
Vous connaissez la leçon par cœur, et ils nous aura fallu toute la matinée pour parcourir les six étages car chaque palier et couloir sont de véritables galerie de musée.
Je n’ose avouer que parfois mon regard était plus attiré par votre longue robe noire transparente et vos sandales noires à talons vertigineux de la marque ……….., car de temps en temps une de vos jambes jouait à cache-cache sous la dentelle. Peut être l aviez vous remarquez !
Puis je vous écoute raconter le passé de ce palais et des hautes personnalités qui y ont séjourné. Ç est fantastique de découvrir avec vous ce lieu tout à fait exceptionnel, vous êtes en train de faire revivre ce lieu au siècle dernier comme si vous y étiez.
Après cette belle visite riche en découverte, nous nous séparons pour le déjeuner.
Deux heures plus tard,
c’est sur un transat de la piscine que je vous rejoins.
Une robe légère en dentelle blanche nous montre votre maillot de bain bleu et dans votre sac, un second maillot de couleur mauve pour le spa.
Chut…Ma préférence va pour le mauve, c’est peut être aussi parce qu’il joue avec votre poitrine. Ç est d’ailleurs au Spa qu’ il prend toute sa valeur lors de vos poses photos. Il me semble reconnaitre une collection de Simone Perele.
Nous allons ensuite découvrir le jardin, et là aussi, vous avez eu le temps de vous changer en sortant du Spa. Vous voila dans une nouvelle robe qui amène de la fraicheur devant la fontaine horloge musicale.
Vous êtes une belle fleur parmi toutes les fleurs de ce merveilleux jardin.
Comme il nous restait encore une petite heure, vous m’avez proposée de vous retrouvez sur l’embarcadère pour admirer le lac. Quelle surprise de vous voir arriver en robe rouge bien fendue sur le coté, avec le vent qui se levé, c’est une nouvelle découverte de votre cuisse avec cette partie de la robe bien soulevée par le vent très coquin. J’y vois comme un clin d’œil pour moi votre admirateur.
Le temps est venu de vous changer une nouvelle fois et de vous préparer pour la soirée.
Vous m invitez à découvrir votre suite, puis j assiste à d autres poses photos allongées mettant en valeur vos superbes jambes, surtout celle de la salle de bain où je n osais à peine rentré.
Le temps d’aller dans ma chambre pour me changer, et on se retrouve au restaurant.
À peine rentrée dans la belle salle à manger, mon regard fut attiré la beauté de votre présence à table.
La robe noire avec son superbe décolleté laisse apparaître un peu plus que la naissance de votre poitrine , votre regard un peu malicieux me fixe et me trouble. Ne portez vous pas votre belle parure Talisman !
La soirée se termine et il est l heure maintenant de se quitter, je pars demain matin très tôt. Je voulais vous féliciter pour votre garde robe de ce Week end, c’est un bel hommage à cet hôtel que vous avez rendu avec vos superbes toilettes et surtout de me l’avoir fait connaitre.
Je vous remercie beaucoup Amélie très chaleureusement pour cette belle visite qui restera gravée dans ma mémoire.
Votre admirateur Pascal
Ma chère Amélie.
Merci d avoir complété cet article avec de nouvelles photos.
J’ai pu continuer à Vous admirer dans vos superbes tenues. Vous êtes toujours aussi élégante, séduisante et très sensuelle. Le temps s’arrête avec Vous.
Votre fidèle admirateur Pascal.
Mon cher Pascal,
c’est un plaisir de me savoir ainsi appréciée. Votre regard est pour moi une belle motivation pour poser encore.
Amélie