L’élégance dans le meilleur rapport qualité / prix de San-Remo
Elegance at the best value for money in San Remo
Flipper n’est pas un restaurant étoilé et ne cherchera pas à l’être. Ce n’est pas non plus le restaurant le moins cher de San Remo. Si c’est ce que vous cherchez, vous trouverez votre bonheur tout autour de la place du marché et en descendant vers le port. Le samedi, jour de marché à San Remo, il vous suffira de suivre le flot serré des touristes français.
En revanche, Flipper est, selon Amélie, l’élégance dans le meilleur rapport qualité / prix de San Remo. Les produits de la mer les plus frais sont son point fort, autour du poulpe, des gambas, du crabe, des palourdes, des rougets, du loup et de la dorade. On y trouve aussi des viandes et bien sûr des pâtes, risottos, gnocchi, ravioli… C’est toujours cuit à la perfection et joliment présenté.
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Les plats fétiches d’Amélie
Parmi les plats qu’Amélie recommande, le Vitello tonnato, unique ! Le « tris di tartare », un trio de tartare de la mer, et la friture de poulpe et gambas, goûteuse mais pas grasse…
La carte des vins permet d’accompagner harmonieusement son repas à des prix raisonnables. Amélie a un faible pour le Pigato de la Ginestraïa.
L’accueil amical de Libero Alborno
Libero Alborno, le patron, sait toujours accueillir ses clients d’un large sourire, d’une franche poignée de main ou d’une accolade. Avec une flute de chardonnay pétillant du Piémont ou un Prosecco de Vénétie et une mise en bouche, il leur témoigne sa satisfaction de les retrouver. En fin de repas, il leur offre une grappa ou un limoncello. Son épouse Debora tient la caisse et veille à tout.
Le midi, une moitié au moins de la clientèle est française, l’autre moitié est sanremese, ce qui est rassurant. Le soir, toute la clientèle, ou presque, est locale. Pensez à réserver en passant un appel, surtout le samedi, car la salle et la terrasse sont pleines.
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Nappes et serviettes en tissus, tables spacieuses, chaises en cuir gris confortables, un décor agréable sont autant de caractéristiques auxquelles Amélie est sensible.
En descendant vers la mer
Vous trouverez Flipper en centre-ville, en descendant de la place du marché, vers la mer, au 25 de l’esplanade du Corso Monbello.
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La famille possède un deuxième restaurant, sur le port, auparavant dénommé également Flipper, devenu Il Molo pour éviter les confusions, tenu par Giglia, la fille des patrons et son mari Nicolo. C’est tout aussi sympathique mais, remarque Amélie, moins spacieux et cosy.
Après le déjeuner, s’il est encore tôt, Amélie prend le soleil sur le port, tout proche, en attendant la réouverture des boutiques qui, pour la plupart, n’intervient pas avant 15H30 ou 16H.
Pour d’autres balades sur la Riviera dei Fiori avec Amélie…
ou
Pour suivre les longues jambes d’Amélie...
Bonjour,
Belle découverte gastronomique en compagnie de la plus charmante guide que j’ai eu l’occasion de rencontrer.
Merci Jean-Luc pour cet hommage. C’est précisément l’objet du site. A bientôt pour d’autres escapades.
Amélie.
Chère Amélie,
l’un de vos portraits en bord de mer nous dévoile encore plus vos jambes parfaites chaussées par de superbes mules à talons hauts. Ces mules mettent en valeur vos jolis pieds et l’on distingue vos ongles vernis en rose nacré.
Même à San-Remo, il y a un petit vent coquin qui viens fouiller votre jupe après votre repas chez Flipper. Décidément, les vents ont bon goût, ils vous apprécient et vous suivent.
Quand à vos escarpins noirs à talons, ne seraient-ils pas vos préférés ? Ils sont souvent présent sur vos photos.
Ha ! Les talons, vous en portez constamment. Que d’allure ! Ils allongent vos déjà longues jambes et galbent un peu plus vos superbes mollets.
Hâte de vous retrouver au prochain rendez-vous, dans une dizaine de jours, car je remarque que vous avez mis en ligne une nouvelle destination sur un lac italien.
PS : une belle pensée pour vous Amélie le week-end dernier pendant ma balade à Marseille, surtout sur la passerelle entre le Mucem et le fort St-Jean où le vent coquin s’amusait avec votre jupette blanche dans la dernière galerie de photographies.
Pascal
Cher Pascal,
la robe noire, que vous appréciez sur la terrasse du Glam, est une Nana Baila, caractéristique, courte, avec les fermetures à glissière apparentes, les poches à empiècements molletonnées… J’ai beaucoup porté les créations de cette maison de couture hélas disparue, on les retrouve dans plusieurs articles, notamment au Parcours qui était un lieu très graphique.
Il faudra que je consacre un article à part entière à San Remo, charmante station, où j’ai beaucoup de photographies.
Vous avez raison, les vents aiment s’amuser avec mes jupes.
En ce qui concerne les escarpins, là aussi, si je jouais les influenceuses je me ferais rémunérer par la marque pour la citer. En fait, je porte en permanence des talons, qu’il s’agisse d’escarpins, de bottines, de bottes ou de cuissardes, de mules, de sandales ou même de baskets. Je sélectionne donc soigneusement des chausseurs qui ménagent ma voûte plantaire, tels que Dorking (marque espagnole contrairement à son nom), Marco Tozzi (marque allemande, idem), Laura Vita, voire Geox… et, chez ces chausseurs, des modèles précis dans lesquels je me sens à l’aise, quitte à les renouveler d’une saison sur l’autre, ce qui donne l’impression que je porte les mêmes. J’espère que cela ne vous lasse pas. Je veille à tenir compte de vos goûts, puisque vous avez la gentillesse de les exprimer, en privilégiant désormais les photographies de chaussures ouvertes lorsque j’ai le choix entre plusieurs clichés.
En pensant à vous, j’ai enrichi l’article sur le Vieux Port d’une galerie d’images devant la passerelle, où le mistral est un peu coquin.
Vous pouvez suivre en direct l’élaboration de l’article sur le Grand Hôtel des Iles Borromées. J’y ai tellement de photographies et de notes que c’est un très long travail.
Au plaisir, qui ne se dément pas, de vous lire.
Amélie