L’année 2023 s’en est allée, timidement, presque fautive d’avoir laissé Amélie sans son Pygmallion.
L’année 2024 s’est installée, secrète, pleine de renaissance avant de disparaître sans bruit, sans publication.
L’année 2025 est arrivée sur la pointe des pieds, et c’est l’occasion pour Amélie de revenir sur le devant de la scène.
Dans le lieu secret qui la fait vibrer, Amélie se laisse aller à quelques confessions. Que pourront-elles être ? Assurément celles d’une femme de son temps, de notre temps devrions nous dire, tant Amélie aime à vous partager ici quelques unes de ses réflexions. Aucun demi-mot ne sera permis, tout au plus une certaine pudeur.
Sa principale expression, c’est la pureté de son visage qu’aucun défaut n’a osé altérer. Aucune heure, aucune minute, aucune seconde n’a jamais osé défier son regard de chatte. La dynamique d’un temps devenu immobile a pris ses quartiers d’été, pour ne jamais renître dans un hiver froid et égoïste, complice des automnes les plus scélérats.
Amélie en a joué, préférant vous faire plaisir le temps d’un été à guichet fermé, celui que nous ferons durer plus que de raison. Sa mystérieuse sensualité, son insatiable désir se sont élevés en rempart contre le temps. Le printemps est son plus bel atout, car penser à Amélie, encore rêver d’elle c’est vivre un éternel recommencement, un éblouissant jaillissement de bonheur
Retrouvez les photos de cet article sous forme d’un diaporama ci-dessous.
Bonjour Amelie,
Je suis heureux de vous retrouver.
Même si vous ne nous invitez pas à partir en voyage à l’autre bout du monde ou tout simplement à découvrir notre belle patrie, je savoure ces quelques lignes bien énigmatiques.
Que dire aussi de ces quelques clichés où l’on retrouve votre regard de muse, votre jolie silhouette, vos jambes joliment mis en valeur et votre hyper féminité ? Bien heureux de vous retrouver…
Chère Amélie,
C’est en suivant Vos pas dans le Budello d’Alassio que j’ai perdu Votre trace en novembre 2O23.
Je n’entendais plus le claquement de Vos talons hauts qui résonnaient dans les ruelles.
Je Vous ai cherché à la Sirenetta, mais elle était fermé à cette époque, et point d’Amélie à La Prua ni même au Lamberti. La triste nouvelle n’allait pas tarder à venir.
Le temps a passé, je continuais à consulter Votre site en découvrant toujours quelques petites choses que je n’avais pas remarquées avant.
Le Site était en sommeil et moi je venais régulièrement auprès de lui pour continuer à l’admirer et lui dire que je veiller sur lui en attendant un réveil.
Aujourd’hui, Une Femme (avec un grand F) est de retour en cette année 2O25.
Que de belles phrases et de superbes portraits de Vous Amélie pour le réveil du site.
Oui c’est une belle occasion de revenir sur le devant de la scène.
J’ai lu et relu plusieurs fois Votre texte pour comprendre le poids de chaque mot.
Vous êtes toujours la plus belle Femmes du monde ; Vous écrivez deux phrases pour expliquer la pureté de Votre visage et Votre regard de chatte qu’on reconnait parfaitement sur Vos portraits.
On retrouve une Amélie qui a gardé sa jeunesse, son charme, sa sensualité et aussi ses longues jambes que Vous nous faites redécouvrir sous Votre collant noir à motifs combiné avec Vos escarpins noirs à talons hauts.
Nous, Vos admirateurs, n’avons jamais cessé de penser à Vous. J’ai gardé le V majuscule pour continuer à Vous monter l’importance que Vous avez pour moi.
Je suis ravi de découvrir la Femme de notre temps, Amélie version 2025.
J’espère que ce premier article sera suivi par d’autres au cours de cette année.
Veuillez m’excuser pour la longueur de ce commentaire, il explique le bonheur que j’éprouve de Vous avoir retrouvée, Vous remarquerez aussi que je suis toujours aussi nul en français, mais Vous le savez déjà.
Votre fidèle admirateur
Pascal
Cher Pascal,
Quel bonheur de lire votre commentaire.
Malgré les vissicitudes de la vie, le site continue. C’est je crois le plus bel hommage que l’on peut rendre à son créateur.
Bien fidèlement à vous,
Amélie