New-York : Amélie in Manhattan vibrations

 

Manhattan. Skyline.
New-York. Manhattan. Arrivée par le ferry de Staten Island.

New-York est l’une des destinations préférées d’Amélie aux USA. Elle ressent physiquement les vibrations qui animent The Big Apple, cette ville qui ne dort jamais. Elle en adopte la frénésie.

Times Square by Night. Silhouette d'Amélie.
New-York. Times Square. Amélie.

Elle installe son quartier général à Times Square. C’est le cœur de Manhattan, d’où partent les pulsations. C’est aussi un centre nerveux d’où la belle peut facilement se rendre partout.

USA. New-York. Manhattan. Empire State Building by night.
New-York. Lower Manhattan et l’Empire State Building depuis The Top of the Rock.
  • Les visions d’ensemble de Manhattan

Avant d’explorer les artères de la grosse pomme, les moyens d’avoir une vision d’ensemble de Manhattan ne manquent pas : le survol en hélicoptère, qu’Amélie écarte car trop polluant, l’observation depuis le sommet de l’Empire State Building ou, mieux maintenant, The Top of The Rock, en haut du Rockefeller Center où l’on regarde le soir tomber sur l’Empire State Building, la croisière autour de Manhattan, intéressante pour quelques photos de nuit de la Skyline mais un peu trop longue, le trajet aller-retour en ferry vers Staten Island qui offre de superbes vues de Lower Manhattan à condition de bien se placer sur le bastingage, le tour en autobus, instructif, la traversée du Brooklyn  Bridge, indispensable pour admirer la Skyline depuis Brooklyn, et la promenade sur la Highline…

Manhattan. Hudson River.
Manhattan. Le soir, pendant la croisière sur l’Hudson river.

La Highline, une découverte en léger surplomb

Depuis sa précédente venue, la Highline, avec son observatoire, baptisé The Vessel, et son nouveau centre commercial du Hudson Yard, sont terminés. Amélie est impatiente de découvrir ce point de vue privilégié sur l’architecture du Lower Manhattan. La High Line, connue aussi sous le nom de High Line Park, est un « parc végétal linéaire urbain » suspendu de l’arrondissement de Manhattan à New York, aménagé sur une portion désaffectée des anciennes voies ferrées aériennes du Lower West Side qui permettaient les livraisons des magasins, à hauteur des premiers ou deuxièmes étages, sans impacter la circulation de surface. Amélie a pris la précaution de choisir un jour de beau temps. Verdict : cette façon originale de se promener dans le Lower Manhattan vaut le déplacement.

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A une extrémité de la High-Line est maintenant implanté le Whitney Museum of American art. Amélie sait qu’elle va y retrouver au moins huit tableaux d’Edward Hopper.

Le Rockefeller center, au centre de Manhattan, et son Top of The Rock

New-York. Top of the Rock.  Amélie. The sexy  f
New-York. Top of the Rock. Amélie.

En plein Midtown Manhattan, entre la 5ème avenue et l’avenue des Amériques, le Rockefeller center, initié par John Davidson Rockefeller, est un ensemble de 19 bâtiments, de style Art Déco, organisés autour de la Rockefeller Plazza, patinoire l’hiver, patio de restaurants le reste du temps. C’est une gigantesque suite de centres commerciaux vaste comme un aéroport international, avec aussi ses salles de spectacle dont le Radio City Hall, ses boutiques de luxe. Au sommet du Comcast Building, se niche l’observatoire qui domine tout New-York : The Top of the Rock. Amélie a choisi d’y observer la ville, du coucher du soleil au crépuscule, en particulier sur l’Empire State Building.

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The View, pour dominer Times Square

The View est un bar-restaurant se trouvant au 48ème étage de l’Hôtel Mariott Marquis situé en plein Times Square. C’est un restaurant tournant, en bordure des lumières Times Square. Amélie le trouve amusant mais le point de vue n’étant pas totalement dominant, contrairement au restaurant tourant de Sète juché sur une véritable tour de contrôle, il peut être aussi judicieux d’y aller pour déjeuner.

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Le Lower Manhattan et la Skyline depuis Brooklyn Bridge

Dans le Lower Manhattan, à Ground Zero. L’Oculus, station du World Trade Center conçue par l’architecte espagnol Santiago Calatrava, évoque l’envol d’un grand oiseau blanc.

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Amélie vient ici aussi ou bien à Battery Park avant de prendre le ferry de Staten Island. C’est l’occasion d’une randonnée jusqu’à Brooklyn par la Brooklyn Bridge. Quel que soient le temps, le ciel et l’heure, c’est grandiose. La vue de la Skyline du Lower-East Side, théâtralisée par les piles gothiques et les haubans du pont se prête à quantités d’images.

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Dans le ferry de Staten Island, se prendre pour un immigrant

Ces grands ferries orange, pour être visibles par temps de brouillard, fréquents à New-York, se prennent près de Battery Park, dans l’immense terminal blanc. L’aller-retour est gratuit. Les bateaux sont immenses donc pas besoin de réserver. Il est toutefois judicieux d’éviter l’heure de pointe entre 17H et 19H. Le bateau passe près de la statue de la Liberté. Au retour, on a l’impression d’arriver à New-York par la mer, comme le firent des millions d’immigrants venus en paquebots.

  • Les itinéraires

Deux axes principaux permettent de découvrir la plupart des centres d’intérêt de Manhattan : la 5ème avenue, qui part au sud, du Washington Square, pour arriver, tout au nord, à Central Park et jusqu’à Harlem. La 42ème rue, qui traverse Manhattan d’Est en Ouest, au niveau de Midtown, donc en son milieu, des terminaux de croisières à l’Ouest, jusqu’au building des Nations Unies à l’Est. Les deux axes se croisent à angle droit au niveau de Bryant Park.

New-York. Manhattan.
Manhattan. Bryant Park.

La 5ème avenue

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Amélie ne manque jamais une longue visite dans le Diamond District. Elle s’attarde dans les innombrables bijouteries et centre commerciaux tenus principalement par les diamantaires juifs. Elle remonte vers le Rockefeller center, la cathédrale Saint-Patrick, le Met, Metropolitan Museum of Art, le musée Guggenheim, tout en haut Central Park, la Frick collection puis Harlem.

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Dans l’autre sens, elle retrouve Bryant Park, la majestueuse New-York Public Librairy, ses halls et ses impressionnantes salles d’étude. Plus bas, elle arrive à l’empire State Building, immeuble longtemps le plus haut de New-York, avec 443 mètres, maintenant dépassé par le One Word Trade Center. Tout en bas, le Flatiron building, l’immeuble en forme de fer à repasser, marque le croisement de la 5ème avenue et de Broadway. Enfin, elle se repose dans le Washington square.

NBA
New-York. Madison Square Garden.

L’un des soirs, elle assiste à un match de la NBA au Madison Square Garden, pour en ressentir l’ambiance.

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La 42ème rue

la 42ème rue qui traverse Midtown d’Est en Ouest. Amélie part de Times Square, son quartier général. Elle traverse le charmant square de Bryant Park, adossé à la New-York Public Librairy qui s’ouvre sur la 5ème avenue. Outre les boutiques où elle fait du shopping, c’est là que l’on trouve le Chrysler Building et la gare ferroviaire Grand-Central Terminal. Même si l’on a aucun train à prendre, on ne peut pas ne pas entrer dans cette gare à l’architecture monumentale, son plafond à voûte céleste étoilée, son grand hall qui rappellera « La mort aux trousses » d’Alfred Hitckock. Parmi les restaurants, elle apprécie l’Oyster bar.

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Dans la 42ème Ouest, on arrive notamment au musée de cire, Madame Tussauds. A l’extrémité Est, est implanté le siège des Nations Unies mais pour l’atteindre, il faut énormément marcher dans un quartier sans animation à partir de la 3ème avenue. Mieux vaut y passer en bus touristique ou en taxi à l’occasion d’une autre course.

Autres magasins emblématiques

Le grand magasin Macy’s Herald Square, à l’angle de Broadway et de la 34ème rue, reçoit toujours une ou plusieurs visites d’Amélie, notamment pour ses stands et boutiques d’habillement. La boutique Brooks Brothers de Madison Avenue est un temple historique de la chemise pour hommes. Il y en a aussi dans le Rockefeller Center et le nouveau centre Hudson Yards.

New-York. Manhattan.
Diamond District. 47th Street.

Les restaurants préférés d’Amélie

Dans l’Upper West Side, sur la 9ème avenue, pas très loin à pied de son QG de Times Square, elle est fidèle au 5 Napkin Burger, dans une ancienne boucherie en gros, avec les rails et les crochets pour suspendre et faire circuler les carcasses de bœufs, les carrelages muraux en céramiques blanche. Elle apprécie l’animation, la carte des bières à la pression, l’art du burger à l’américaine avec un choix rare, version new-yorkaise. Le cheddar et le bacon sont parfaits… Ce serait le meilleur restaurant de burgers de New-York. En tout cas, Amélie les trouve excellents ainsi que les bières.

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Pite’s Tavern, crée en 1864, serait la plus vieille taverne de New-York, près de Union Square. Le comptoir en bois de rose serait en place depuis la création. Dans les années de la prohibition, la taverne s’était déguisée en boutique de fleuriste, mais son arrière-salle faisait ses beaux jours de l’alcool clandestin. Proche de Tammany Hall. Pete’s Tavern est apparue dans de nombreux films et téléfilms. Beaucoup de célébrités y ont leurs habitudes.

N’oublions pas l’Oyster Bar, dans Grand Central Terminal, et les restaurants de fruits de mer autour de la Rockefeller Plazza. Le 21 Club, sur la 52ème rue est plus huppé, tous les présidents américains et d’innombrables célébrités y ont dîné.

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Les soirées spectacle

La belle flâne dans Broadway et choisit une comédie musicale. Elle suit les programmes de deux clubs de jazz, le célébrissime Blue Note, monument historique où l’on est serrés comme des anchois, heureusement que l’on n’y vient pas pour le repas. L’autre, le Birdland, dans la 44ème rue, en bordure du quartier de Broadway, à peine moins prestigieux mais non moins intéressant, est bien plus confortable.

Il faut ouvrir les yeux et les oreilles pour ressentir les rythmes de Manhattan, ses percussions, sur tous styles de musique, par des musiciens et danseurs de rues, sur les trottoirs, dans le métro…

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Bientôt un article spécial : New-York : Manhattan, architecture urbaine et art dans la rue.

 

Vous pouvez suivre Amélie dans New-York :

– Musées d’art de New-York : Les coups de coeur d’Amélie

– New-York – Manhattan : promenade avec Amélie dans l’architecture urbaine

 

2 commentaires sur “New-York : Amélie in Manhattan vibrations”

  1. Bonjour Amélie,
    D’habitude, je ne suis pas attiré par la Grosse Pomme à cause de l’omniprésence du béton et de la salissure. Je préfère, et de loin, l’atmosphère de la Terrasse à Sainte Adresse (Monet).
    Malgré tout, je dois avouer que j’ai apprécié ce que vous et votre Pygmalion avez proposé.

    Tout d’abord votre carnet de voyage s’ouvre sur un portait de vous, le regard tourné vers la ville qui ne dort jamais et qui propose une chevauchée onirique à qui le veut, ou du moins le ressent. Comme l’écrivit le journaliste hippique John J.Fitz Gerald, NY est « le rêve de tout garçon qui a chevauché un pur-sang et le but de tous les cavaliers. » Cela s’applique également à vous, chère Amélie qui cherchiez à entrer dans le rêve de Hopper entre autres.

    Ensuite, votre carnet propose une photo de NY toute illuminée, le début d’un parcours où s’enchevêtrent rêve et réalité. La façon dont se succèdent les séries de photos « by night » comme disent les Américains et celles de jour me plaît beaucoup.

    Pour moi, il y a deux points d’orgue. Le premier, la série de photos qui exacerbent la sensation des lignes droites et verticales qu’imposent les gratte-ciel et les lignes de fuites induites par la hauteur des bâtiments. Félicitation à votre Pygmalion pour le cadrage et le choix des points de vue pour les photographies.

    Le deuxième point d’orgue pour moi se trouve dans les trois photographies d’Amélie, assise sur le rebord de la fenêtre. Le ciel bas, le grand jour, la nuit brouillent la perception de la réalité et rendent floue la frontière entre la réalité et le rêve. Amélie, est-elle une femme réelle ou un fantasme ? Quand on la voit, sommes-nous au final en train de rêver ou est-ce la réalité ? En tout cas, à travers ces trois photographies, nous vous voyons , chère Amélie, telle que votre Pygmalion vous perçoit et veut. C’est tel un artiste que l’on vous regarde.

    1. Merci cher Jean-Luc, d’apporter à nouveau une grille de lecture sensible, intellectuelle et artistique au reportage. Il y a un intérêt, après avoir lu votre commentaire, à revoir l’article.
      Amélie

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